LAAMBA   LAANA

 

Si la famille m’était contée

 

 

 

 

 

Esquisse historique de la famille LOTA au village

 

 NDJO/OKOTE

 

 

 

 

15 Août 2000


0.     INTRODUCTION GENERAL

 

0.1.         GENERALITES

 

Connaître ses origines paraît préoccuper l’homme autant que le préoccupe la connaissance de sa destinée. De siècles en siècles, les peuples du monde ont essayé d’expliquer les origines du monde et de l’humanité. Cette lutte acharnée a abouti en beaucoup d’endroits à la « fabrication » de dieux qui sont pour l’homme l’alpha et l’oméga de sa vie.

 

Le peuple d’Israël est le plus explicite des exemples à donner à cet effet comme on peut le remarquer à travers les divers récits généalogiques de l’ancien et du nouveau testament
(Gn 10, 1-29 ; 1, 10-32)  (Mt. 1, 1-16, Lc 3, 28-38) mais surtout dans les onze premiers chapitres du premier livre des chroniques.

 

Fort de cette expérience, nous avons jugé de laisser à notre postérité cet ouvrage qui les aidera, dans leur diaspora, à se situer dans la famille et surtout à ne pas rompre le cordon ombilical qui nous lie à notre ancêtre commun.

 

0.2.         INTERET ET CHOIX DU SUJET

 

Déjà l’âge de sept ans, nous étions orphelin de père. Notre enfance a donc été émaillée de l’affection maternelle et fraternelle. Nous avons grandi auprès de Nyomi Amenaki véronique, notre tante paternelle et de Nyomi Kambadiolo Catherine, notre maman. Ce sont surtout ces deux illustres personnages qui nous ont contés  et raconté l’histoire de notre famille. C’est donc en signe de gratitude et de reconnaissance que nous leurs rendons cet hommage posthume en rédigeant cet ouvrage.

Le titre aurait été intitulé autrement si nous nous bornions à une simple généalogie. Or nous voulons aussi enrichir cet ouvrage de certains souvenirs lointains de notre enfance à Ndjo entre 1963 et 1965.

 

LAAMBA LAANA  est le nom très significatif du clair ruisseau dans lequel se ruine mon beau village Ndjo Ndjatelokole. C’est une rivière qui regorge d’innombrables anguilles que tout enfant de Ndjo se fait la fierté et le plaisir de pêcher dès le bas âge au noyau des fils de raphia que l’on appelle « DINGOYI »

 


LAMBA L’AANA se traduit littéralement en français « L’ANGUILLE ET SES ENFANTS ». Qui est l’anguille  et qui sont les enfants ? D’aucun seraient tentés de penser que l’auteur de cet ouvrage aurait la prétention de se comparer à cette anguille originale. Rien de cela. L’anguille ici c’est notre ancêtre commun de qui nous tirons la légitimité d’être membre de notre famille. Nos informateurs nous ont dit que cet ancêtre s’appelait LOTA KUM’ASE WEMBE c’est lui notre anguille et nous sommes ses enfants.

 

03. DIVISION DU TRAVAIL

 

Notre ouvrage sera divisé en trois partis. La première portera sur la généalogie historique de notre famille à partir de LOTA jusqu’à ce jour. La deuxième est un mémorial de notre séjour au village Ndjo entre 1963 et 1965 la troisième et dernière partie sera une réflexion sur l’avenir de notre famille en vertu de l’Etat actuel de la situation. Comme Agatha Christie, nous laisserons à nos lecteurs la liberté de tirer chacun sa propre conclusion.

 

Notre souci est qu’il ne soit pas nécessaire de recourir à une légende ou au conte de fée pour établir notre parenté Légale.

 

 

 


CHAP. I. LES ORGINES DE LA FAMILLE LOTA

 

I.1. COMPREHENSION TERMINOLOGIQUE

 

Lorsqu’on nous demande de définir le concept famille, nous sommes souvent tentés de donner l’explication nucléaire de  celle-ci qui comprend le père, la mère et les enfants.

 

Même le code de la famille de la RDC donne une définition abstraite qu’il appelle « l’ensemble des parents et alliés d’un individu »  (art. 701)

 

La famille, au sens africain du mot, c’est une communauté d’individus qui se réclament d’un ancêtre commun, unis les uns les autres par des liens de parenté pratiquant le même culte en observant les mêmes interdits qu’il comporte, soumis à l’autorité d’un chef qui est à la fois représentant du groupe et administrateur de son patrimoine commun.[1]

 

Bien qu’il nous soit pratiquement impossible de pratiquer le même culte, d’observer les mêmes interdits, d’être soumis à l’autorité d’un seul chef et d’avoir un patrimoine commun, cette définition nous semble plus proche de la réalité de notre famille car nous sommes réellement une communauté d’individus, nous nous réclamons d’un ancêtre commun LOTA et nous sommes unis les uns les autres par des liens de parenté.

 

1.2. LOTA KUM’ASE WEMBE

 

le village OKOMBE situé à une vingtaine de kilomètres de NDJO était dirigé par un monarque qui s’appelait OHEKA KUM’ASE WEMBE. Ce roi avait deux enfants ; une fille et un garçon. La fille, aînée, était mariée à un Monsieur d’OKOMBE et le cadet, LOTA, était encore célibataire. Tous vivaient dans le palais royal.

 

Il arriva que le roi OHEKA trouve la mort précocement et que son fils LOTA devait être intronisé. Mais pour cela il faillait observer une certaine période de deuil  en mémoire du roi défunt. Cette période servira aux sages du village d’initier le prince héritier à ses nouvelles responsabilités.

 


Mais malheureusement pour LOTA, un jour pendant qu’il est parti à la rivière, son beau-frère (avec la complicité de sa sœur ?) porte l’accoutrement royal et se met à exhiber les pas de danse à l’intérieur de la maison. Le batteur de tam-tam l’ayant aperçu, se fait faussement l’idée que c’est LOTA qui a porté la couronne. Alors il bat son tam-tam (Lokombe) et alerte le village. Lorsque les gens accourent, ils ont la désolation de constater que le nouveau roi n’est pas celui qu’on attendait. Mais comme il a déjà porté cette couronne, on ne peut plus la lui ôter. C’est  ainsi que le beau-frère de LOTA  fut intronisé nouveau roi à OKOMBE

 

Averti par le tam-tam et le brouhaha du village, le prince LOTA décide de quitter ce village et de ne plus y mettre pied. C’est ainsi qu’il viendra s’installer entre les rivières ETSHI et YOME. Cette forêt qu’on appelle encore aujourd’hui LOTA est la première station des ASE NDJO lorsqu’ils ont quitté le premier BOKO DA NDJO situé à plus ou moins 2 Kilomètres du village OKOMBE.

 

De ce village NDJO, il y a une descendance issue d’un ancêtre appelé NGANDO, NGANDO engendra WATAMBOLO, WATAMBOLO, engendra LOFANGA, LOFANGA, engendra cinq enfants qui représentent les cinq premiers clans de NDJO. Il s’agit de : KOLE, TSHUDU, DIMANDJA, MBE et NDJOVU. Ces cinq enfants ont peuplé le village NDJO.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Décidé à recommencer sa vie sous d’autres cieux, LOTA OHEKA KUM’ASE WEMBE épousa MBE A LOFANGA. De leur Union naquit un fils unique appelé OKITO, ce qui signifie héritier.

 

OKITO se maria à son tour à une femme dont le nom nous est inconnu et de leur union naquit un garçon du nom de TSHEKO. TSHEKO se maria à son tour et eût comme héritier son fils unique NGONGE.

 

Déjà à cette étape de la vie des contacts sont établis entre différents villages et chefferies. C’est ainsi que NGONGE  épousa une femme originaire du village KOYI et ils donnèrent naissance à deux garçons et une fille

1.     WEMBODINGA

2.     EMAMBOLO appelé plus tard OKITANGONGE et la fille AMENAKI

 

Une seconde version nous informe que NGONGE a ensuite épousé une autochtone et leur union donna six enfants qui sont :

1.     LOKEND’AMBA (Père de OTENEWO)

2.     DIMANDJA (Père de AKONGA)

3.     ASOYI (Mère de PANDJEKA) et NDJATE et TAKOYI)

4.     ONADAMBO (n’a pas eu d’enfants)

5.     DIHANDJO (Mère de LAMA)

6.     PALA

 

A partir de ce moment les branches de notre arbre généalogique commencent à s’ébranler à travers le village NDJO. Les noms que nous retrouvons ici sont ceux qui se retrouvent dans presque tous les clans de notre village.

 

Quant à la descendance de chacun, nous la retrouvons dans la figure ci-après :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Nous voyons que WEMBODINGA a engendré une fille du nom de ASHILAKI. EMAMBOLO (OKITANGONGE) a épousé deux femmes :

 

1.     EKOKO OHANU, originaire de Oshing’oto de cette union naissent deux enfants dont un garçon, KASONGO ON’ABABA (OSHIDI NGONDO) et une fille ANAHENDO.

2.     AYAKI OKITOSODU  originaire de EMONGO de cette union naissent quatre enfants dont deux garçons, WEMBO et NYONGOMBE (DIESSA ou OTSHUDI A DIESSA) et deux filles, AMENAKI et ATSHAMO.

 

Quant à AMENAKI, (la sœur de WEMBODINGA et EMAMBOLO) elle se maria à Monsieur EMBOLONGO et leur union donna naissance à un fils unique du nom de OKITADENDE.

 

De l’autre côté, LOKEND’AMBA engendra OTENEWO, DIMANDJA engendra AKONGA, ASOYI  engendra trois enfants, PANDJEKA, NDJATE et TAKOYI, DIHANDJO engendra LAMA. Quant à ONADAMBO et PALA, ils n’eurent point d’enfants.

 

I.3. EMAMBOLO-OKITANGONGE

 

Cette figure de proue de la famille LOTA nous intéresse assez fort et vous devinez pourquoi. Son frère aîné WEMBONDINGA n’a eu qu’une fille ASHILAKI étant stérile celle-ci n’a pas laissé de descendance et cette lignée s’est arrêtée  ce niveau.

 

P.S : Nous avons eu la chance de rencontrer cette ASHILAKI à Wembo-Nyama en 1966 lorsque notre frère Jean UKULUNGU travaillait à l’hôpital protestant comme infirmier diplômé A2

 

AMENAKI, sa sœur cadette étant une femme, s’est mariée à EMBOLONGO et ils ont eu un enfant OKITADENDE. Celui-ci a eu le malheur de donner en esclavage son cousin WEMBO (fils d’EMAMBOLO et AYAKI) Mais cette erreur, OKITADENDE la réparera d’une façon impeccable car c’est de son fils aîné EMBOLONGO que naîtra la célèbre et vénérable NYOMI AMENAKI, notre tante paternelle que beaucoup d’entre nous avons côtoyée à NDJO, à WEMBO-NYAMA, à TSHUMBE, à LODJA et à KINSHASA où elle mourut en 1995. Nous y reviendrons.

 


Voyons maintenant comment la famille LOTA prend son expansion à partir des six enfants de EMAMBOLO OKITA NGONGE.

 

Nous l’avons dit plus haut, ce patriarche avait épousé deux femmes, EKOKO  et AYAKI.

 

De son union avec EKOKO OHANU, naissent deux enfants : un garçon, KASONGO OHANU ON’ ABABA appelé plus tard OSHIDI NGONDO, et ANAHENDO.

 

ANAHENDO était épousée par Monsieur OKITALOTSHINDA et leur union donna naissance à un fils unique appelé OKOLONGO. (c’est la phonétique correcte de UKULUNGU). OKOLONGO se maria à son tour et eut seulement deux enfants ; un garçon LAMA OKOLONGO et une fille EKOKO OKOLONGO.

 

PS : Durant mon séjour à NDJO de 1963 à 1966, j’ai connu papa OKOLONGO et LAMA. Celui-ci a eu 3 garçons OYOWE LAMA Dieudonné, OKOLONGO LAMA Jean et Michel LAMA(LABLONDE) ce dernier est décédé à Kinshasa le 9/07/2001

 

Quant à KASONGO OHANU, il a hérité de EDJO femme de son neveu EMBOLONGO qui venait de mourir, a engendré un fils unique EMBOLONGO LOSONDJO Michel notre père. KASONGO a également épousé une femme de KOY qui s’appelait NGONDO mais celle-ci n’eut point d’entant. Nous reviendrons plus loin sur cette lignée. Mais avant tout, voyons comment évolue l’autre branche.

 

La deuxième femme d’EMAMBOLO s’appelait AYAKI OKITOSADU. Celle-ci donna à EMAMBOLO quatre enfants : dont 2 garçons et deux filles.

 

1.     WEMBO OKITANGONGE qui fut déporté en esclavage à Lusambo où sa famille se multiplia et se confondit avec les autochtones de là-bas.

2.     NYONGOMBE OKITANGONGE appelé plus tard OTSHUDI A DIESSA parce qu’il était forgeron et que les outils qu’il fabriquait étaient bien limés et donc très tranchants. (en Kitetela, diessa signifie tranchant).

3.     AMENAKI OKITANGONGE

4.     ATSHAMO OKITANGONGE

 

I.4. AMENAKI A NGONGE

 

Parmi les trois enfants de NGONGE notre attention s’arrête un instant sur sa fille AMENAKI, sœur cadette de EMAMBOLO OKITANGONGE.

 

Celle-ci était épousée par Monsieur EMBOLONGO dont les origines ne nous ont pas été communiquées. Mais à notre connaissance il est membre du clan DYEMBA. Leur union a donné naissance à un fils unique Monsieur OKITANDENDE. Ce dernier engendra quatre garçons qui sont :

 

1.     EMBOLONGO OKITADENDE (qui sera plus tard le géniteur de Nyomi AMENAKI véronique)

2.     POYI OKITANDENDE (qui sera plus tard le géniteur de Nyomi ALONGA Louise et Nyomi ANAHENDO véronique)

3.     YOHE (Yuhe) y’ OKITANDENDE (qui engendrera OKITANDENDE, AYAKI, AMANA (ALANGI MOMBA), Marie WOOTO et Mama KOOTO

4.     KOY’A NDJEMBE OKITADENDE dont nous ne connaissons pas la descendance.

 

I.4.1. EMBOLONG’OKITADENDE

 

Sa descendance, au départ limitée à sa fille unique AMENAKI véronique sera l’une des plus remarquables à partir de ses arrières petits-fil car, comme nous allons le voir les 3 petits-fils de OKITADENDE vont engendrer plus ou moins cinquante enfants à eux seuls.

 

Avant d’y arriver, faisons d’abord la jonction avec la branche EMAMBOLO pour comprendre comment une dame du nom de EDJO (originaire d’OKOMBE) s’est retrouvée épouse de trois messieurs qui sont de la même famille.

 

De son vivant, EMBOLONGO avait légué son héritage à KASONGO OHANU, fils de EMAMBOLO OKITANGONGE qui fut l’oncle maternel de son grand-père EMBOLONGO de qui il tire l’origine de son nom. Donc KASONGO et ce premier EMBOLONGO étaient des cousins. Ainsi KASONGO est pratiquement le grand-père de EMBOLONG’OKITADENDE.

 

A la mort d’EMBOLONG’OKITADENDE tout l’héritage est donné à KASONGO OHANU y compris sa femme EDJO et sa fille AMENAKI.

 

De la vie conjugale entre KASONGO et EDJO, naquit un garçon du nom d’EMBOLONGO Michel qui sera appelé plus tard pasteur LOSONDJO (LUSUNDJU) EMBOLONGO Michel et qui fut notre père.

 

KASONGO OHANU ON’ABABA était un homme bouillant qui aimait la vie active. Il était dans le protocole du village en tant qu’interprète sans avoir été à l’école. il avait un sport préféré, le jeu d’hasard que dans notre village on appelle OWALE les jeunes Kinois en sauront quelque chose si on parlait de « jeu  likonda » ou de carte ya mbongo.

 

Au cours d’une partie de ce jeu de hasard, l’adversaire de KASONGO lui bouffa tous ses biens. Comme il était un homme défiant et implacable, KASONGO ne s’avouait jamais vaincu. C’est pourquoi il mit en jeu son Jocker qui n’était autre que sa femme EDJO. Malheureusement pour lui. Et ce sursaut d’orgueil, lui apporta malheur car il perd la partie et laisse filer sa femme sous le regard indigné de toute la famille.

 

Désormais donc EDJO et ses deux enfants AMENAKI et EMBOLONGO-LOSONDJO, vivent en consignation chez l’adversaire de KASONGO.

 

Pour sauver l’honneur de la famille, POYI OKITADENDE, frère cadet d’EMBOLONGO, paye tous les frais et récupère sa belle-sœur avec qui il cohabite et de leur union naissent deux filles : ALONGA A POYI et ANAHENDO A POYI.

 

De cette longue mais remarquable histoire EDJO se retrouve mère de quatre enfants dont trois filles ANAHENDO ; et d’un garçon EMBOLONGO LOSONDJO Michel. Ces autres enfants bien qu’ayant trois pères différents, sont tous de la même famille LOTA.

 

1.4.2. POYI OKITADENDE

 

Comme nous venons de le voir POYI qui a récupéré EDJO, la femme de son frère défunt EMBOLONGO,  a eu de celle –ci deux filles ALONGA et ANAHENDO. Mais par ailleurs il avait aussi épousé sa propre femme du nom de DEKO. De leur union naquirent sept enfants qui sont :

 

1.     KOY’A DJEMBA (Jérôme ?)

2.     LOKINO (Marie ?)

3.     TOKÔLO (Yuhe)

4.     NONGE (Jérôme)

5.     KIPATA Albert

6.     PALA (Henriette ?)

 

Ces sept enfants ont également engendré plusieurs enfants hélas ! A ce jour nous ne sommes pas en mesure de les situer car le destin nous a séparés trop longtemps et nous n’avons reçu aucun renseignement fiable sur ces enfants. Mais nous savons qu’ils vivent quelque part dans ce monde et si un jour, l’un d’entre eux tombe sur notre ouvrage, qu’il ait l’amabilité de signaler sa présence et prenne contact avec ses co-descendants par les moyens qui lui seront possibles.

 

Nous aurons donc à nous attarder sur les deux filles de POYI qui sont ALONGA et ANAHENDO. Mais avant cela parlons du troisième enfant qui est YOHE OKITADENDE, et de son père KOY’DJEMBA.

 

1.4.3. YOHE Y’OKITADENDE

 

Il s’est marié et a laissé une descendance de cinq enfants :

1.     Jean OKITADENDE (le père de Jeannette ELANDO PALA, KOMBE, MAYA YOHE Hubert etc. …

2.     AYAKI

3.     AMANA (ALANGI MOMBA) Hélène

4.     Marie WOOTO (la femme de TOMONYI et mère de NDJO)

5.     Marie KOOTO

 

1.4.4. KOY’A DJEMBA OKITADENDE

 

Ce quatrième garçon d’OKITADENDE n’a rien laissé comme descendance qui nous soit commun. Si nous reprenons son nom, c’est pour que nos lecteurs se fassent une idée sur l’origine de ce nom KOYI-DJEMBA ou KOY’A DJEMBA que nous retrouvons comme post-nom chez certaines personnes que nous connaissons telle que OSAMBA KOY’A DJEMBA Albert.

 

 

 

Zone de Texte: KOY’A  DJEMBA
LOKINO Marie
TOKOLO Marie
YOHZ, NONGE
KIPATA, PALA
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 


 

 

 

 


1.4.5. YOHE Y’OKITADENDE

 

La figure 4 nous montre que ce troisième fils d’OKITADENDE a engendré 5 enfants dont 1 garçon et quatre filles : OKITADENDE, AYAKI, AMANA, WOOTO et KOOTO.

 

Sa descendance a été assurée grâce à son fils OKITADENDE A YOHE jean. Celui-ci a en effet engendré plusieurs enfants dans son union avec Madame Louise OKODI, ressortissante d’Ongongo dusa, village natal de ma mère Kambadiolo.

 

Les enfants que nous connaissons en ce moment sont :

3.     YOHE Albert

4.     ELANDO Jeannette

5.     KOMBE Hélène

6.     AMANA

 

Au moment où je quittais le village N’DJO Maman Louise OKODI était encore jeune et féconde, plusieurs enfants sont encore nés …

 

Section 2 : LIGUEE DE MME EDJO

 

Nous allons à présent présenter succinctement les 4 enfants nés D’EDJO et ses différents époux de la même famille. Il s’agit de AMENAKI Véronique, LOSONDJO Michel, ALONGA Louise et ANAHENDO Véronique nous l’appellerons E.

 

E.1. AMENAKI Véronique

 

Nyomi AMENENAKI Comme nous l’appelions est la fille aînée de EDJO, née de sa première union avec EMBOLONGO OKITADENDE. Nyomi s’est mariée à NDJO avec papa TSHOTA EMANYAMA Samuel issu du clan EKONGA, cautionner de la colonie. Leur champ historique se situait dans la petite prairie appelée ATAAMBO.

 

Dieu les a béni et ils ont eu trois enfants dont deux garçons et une fille :  WEDI LUSUNDJU Jean, DJAMBA OKITADENDE Pierre Bocker et OPOPE ONANDO Hélène.

 

De ces trois enfants fut engendrée une descendance très remarquable car chacun des trois avait mis au monde plusieurs enfants et leurs enfants en ont fait autant, du moins ceux qui sont à l’âge adulte :

En effet WEDI LUSUNDJU Jean a épousé six femmes qui lui ont donné un total de 26 enfants, DJAMBA OKITADENDE a épousé quatre femmes qui lui ont donné 18 enfants ; OPOPE ONANDO Hélène s’est mariée avec papa Gabriel NONGA LUNDE  et leur union a donné 10 enfants.

 

En détail, voici la progéniture de chacun des trois enfants de Nyomi AMENAKI Véronique

 

E.1.1. WEDI LUSUNDJU Jean (+)

 

1er mariage avec OKITO ONAKENEMO Julienne (10 enfants) (+)

 

1.   SHUTSHA Léon : G3 en Bibliothéconomie à Paris - France, chef de Division au Secrétariat Général à L’information et Presse Kinshasa 

                              Marié P. de 5  enfants

2.   ENGOMBE WEDI SHAMBA Boniface : Dr en Mathématique, Université  de Sorbonne en France, Professeur Ordinaire à l'UPN

                                                                      Marié à Pauline EKOMBA KAFUA, 7 enfants dont 5 filles et 2 garçons. Habite Kinshasa

3.   WEDI Bertin : Evangéliste Témoin de Jéhovah Bandundu

4.   ONYUMBE Emile : G3 Analyste Programmeur Informaticien, Ministère du plan et reconstruction Kinshasa

5.   OLOKO Ferdinand : Dr en médecine Pédiatrie à Lubumbashi (Katanga)

                                           Marié à Pauline Otshumba Omambo( fille de chef Omambo la Djela , Onalowa).

                                   Enfants: 1.  Carole Chapalain, née Embelo Dikina  

                                                    Maitrise en droit, avocat conseil à Es-Ko (Monaco), mariée à Yohann Chapalain

                                                2.  Christele Tshivuila-Matala née, Opope Oyaka Wedi

                                                    Docteur en Médecine, mariée à Jean-Marc Tshivuila-Matala 

                                                3. Joe Tshene Omambo, Licencié en relations internationales

                                                4. Vanessa  Okito Lotembo Wedi, Etudiante en Médecine (Université de Prétoria)

                                                5.  Barbara Deko Wedi : Etudiante en art dramatique, Université de Prétoria

                                                     Artiste musicienne... Alias "Rouge"

6.   WEDI KASONGO Jean Marcel : Ir Information Paris (France)

7.   PALA Jeanne : G3 en Bureautique (Piggier Kin) marié à BOLANGI Michel (+)

8.   WEDI DJAMBA Dieudonné : L2 en Droit UNILU Avocat au Barreau de Lubumbashi

9.   ATSHAKAWO Caroline : Diplômé en coupe couture prof. Au centre Féminin Marie Antoinette Mobutu 

                                        Mariée à KIAKA LOKOSO, cadre d’aviation M. + 1 enfant

10.        LUSUKULA WEDI Béatrice   (+ 21/09/2010)

 

2ème épouse EKUDI Véronique (1 enfant)

 

1.            LONGANGA Cosmas : L2 IPN, Homme d’affaires marié à GIMBA Bethy et père de 2 enfants Kinshasa

 

3ème épouse OKAKO (1 enfant)

 

1.     OKITO Julienne (marié à LOHALO  et mère de 5 enfants Kinshasa)

 

4ème épouse WADOLOKI Godelive (8 enfants)

 

1.     AMENAKI Véronique

2.     TSHUTA Wedi Justin : Ex-Commandant Police Kinshasa, marié à Otshumba Evelyne

                                    Enfants : - Opope Grace (Bandundu)

                                                  - Oloko Ferdinand

3.     DJAMBA Bocker : Finaliste à l’école Nationale des finances, Option douane et Accises Kinshasa

4.     OPOPE Hélène (+)

5.     LOHAYO WEDI

6.     EDJO WEDI

7.     OMBA WEDI

8.     SHAKO WEDI

 

5ème épouse OKITO Thérèse (2)

 

1.     WETSHINDJO Michel

2.     POYI WEDI

 

6ème Epouse AKATSHI Madeleine (4 enfants)

 

1.     HAKANE Catherine

2.     LOKOSHA Jean-Pierre

3.     OKITEMBO

4.     TELE

 

E.12 DJAMBA OKITADENDE Pierre Bocker décédé à Paris le 3/05/2001

 

1ère épouse : TETE Henriette  (+)

 

1.     TSHUTA Samy Marie-Marie : G3 à L’ULB (+)

2.     EMBELO Jeannette (+2005): D6 Lycée Dr SHAUMBA mariée à Albert LUSUKULA Secrétaire Général aux Finances KIN mère de 7 enfants

3.     WALO Marie-Thérèse : G3 ISP/GOMBE, Mariée à Dr KALUBI Blanchard, Médecin aux cliniques universitaire de Tokyo, Japon mère de 2 enfants.

                                Teddy : Marié à une Portugaise et père d'un garçon

4.     AMENAKI Louise : D6 Athénée de Ngaliema mariée à Alphonse Mpoto Prof d’université, France Mère d’un enfant :

                                -  Roland : Marié à une Congolaise et père d'une fille, vit à Paris

5.     DJAMBA ELISE : Femme d’affaires, mère de 5 enfants

6.     TETE Josée : D6 à Diengenga, mariée à José SHUNGU, mère de 4 enfants

7.     SEKE DJAMBA : G2 IPN, vit en Autriche. Footballeur

 


2ème épouse : NGOIE WOTSHO Henriette 
(+15/01/2009)

  

1. DJAMBA TAMBWE Jean Pierre : L2 en économie UNIKIN succède à son père le 19 mai 2002 sous l’appellation de PENE DJAMBA   (+ 07/01/2011)

2.     OPOPE Hélène : Diplômée en coupe couture Mariée à clément MUYANYA, officier des FAC mère de 2 enfants (USA)

3.     LOHAYO André : L2 Economie, assistant UNIKIN aux études 3ème cycle (USA)

4.     KOMBE Ferdinand : Ir en Polytechnique UNIKIN aux études 3ème cycle  à Londres. (UK) Marié à Lydie, 4 enfants : Candy Djamba, Grâce Embelo...

5.     DEKO Marie-Claire : L2 en Droit UNIKIN, Magistrat Mariée à Godet LABY MUBA, juriste à l’OBMA

6.     WEDI Jean-Marie : Informaticien à Londres, Footballeur. Marié à Minette,  enfants

7.     LUSUNDJU Rodrigue : Vit à Londres. Footballeur

 

Relation avec OBONGA

 

1.     K’OMO Henriette : Mariée à clément DANGA  mère de 3 enfants

     - ANAHENDO

     - DJAMBA BOCKER

 

Relation avec Mme Hélène ANADALA)

 

1. Nathalie Andjakana

 

E.1.3. OPOPE ONANDO Hélène

 

Marié à Gabriel NONGA (owandji à Nganda) (+)

1.     OKITAKOYI Daniel Dagobert : Ir. Agronome IFA Yangambi, Projet Vulgarisation service National Kin (+ 16/02/2011)

2.     OHOTO AMENAKI : mère de 2 enfants (+)

3.     TSHENE Jean : Ir Electricien ISTA-KIN chef de Maintenance INGA (+ Mars 2006)

4.     EKANGA Sarah : mère de 4 enfants (+)

5.     NONGA Gabriel : Ir Electricien ISTA-KIN(+) a laissé 1 enfant

6.     LOLA NONGA Elias : L2 IPN, Prof au secondaire

7.     OPOPE ONANDO Hélène : Mariée en France (Paris)

8.     KOSO PALA : L2 aux études en France (Paris)

9.     ALEMO TSHUTA Samy : Docteur en Médecine dentaire, marié et vit aux USA (Springfield, Illinois)

10. WETSHIEKA DJAMBA (+)

 


E.2. EMBULUNGU LUSUNDJU Michel

 

Michel LUSUNDJU  est fils unique né de l’union entre KASONGO OHANU ONABABA alias OSHIDINGONDO et Madame EDJO. Il a fait ses études primaires au sein des écoles protestantes de sa contrée, en compagnie de son cousin OTSHUDIENYEMA. Après avoir tenté de faire l’école normale à Tshumbe, ce qui ne fut pas possible à cause de ses origines protestants alors que Tshumbe sainte Marie est le siège même du diocèse Catholique du même nom, le jeune Michel s’inscrit à Wembo-Nyama au centre évangélique missionnaire de l’Eglise Méthodiste du Congo Central (EMCC en sigle). En Otetela, on les appelait « ABOYI MISHONYI » ce qui signifie « les aides missionnaires ». Il s’y retrouva avec d’autres enfants de son village dont YEMBA Jean, le futur beau-père de son fils aîné DIESSA Paul.

 

Tout en étant étudiant évangéliste, il épousa KABADIOLO Catherine qui devint sa compagne missionnaire à l’âge de plus au moins 13 ans.

 

ANECDOTE

 

Pour amener sa jeune épouse à Wembo-Nyama, Michel la transporte sur ses robustes épaules. Ses formateurs trouvent que Catherine est encore enfant et ne pourra pas supporter le poids du mariage. Ils la placent sous la garde des femmes missionnaires qui dirigent l’école des filles à Wembo-Nyama. Mais, peu de temps après, Michel réclame sa femme car, dit-il les travaux de ménage dont il est tenu d’effectuer tout seul, ne lui permettent pas de se concentrer aux études à l’instar de ses collègues qui vivent en couple. L’alibi tient debout et Catherine est remise dans la maison de Michel.

 

Moins d’une année après, naquit un gros et beau garçon qu’on appela Paul DIESSA au grand étonnement de toute la communauté missionnaire, vu l’âge de la Jeune mère.

 

A la fin de ses études, Pasteur LUSUNDJU Michel transporté par l’Esprit saint dans toute la contrée pour annoncer la Bonne nouvelle de Jésus-Christ. C’est au cours de ses multiples mutation que naquit ses 13 enfants, respectivement :

 

1)     WEMBO-NYAMA (naissance de Paul DIESSA)

2)     OKIT’ODIMBA KOYA PONGO (naissance de Charles et Jean)

3)     WONYA OM’OHAKO (une fille naît et y meurt)

4)     OKOMBE WA DJEMB’OLEMBO (naissance d’Ignace)

5)     DONGO (naissance de Loraine)

6)     MENGA Y’OTETE (naissance de sami)

7)     OWANJI WOKITASHONGO (naissance de Louise)

8)     TSHADU-LOSHO (lomela) (naissance de Moïse)

9)     DIKOMA (Lomela) (naissance d’Albert)

10)INEAC MUKUMARI(transit)

11)DIMANDJA SHENGA (naissance de Marie-Hélène)

 

Homme très entreprenant, Michel se donnait à cœur-joie aux travaux de champs, parfois à la chasse et  la pêche pour nourrir sa famille nombreuse. Homme respectueux et respectable, le pasteur Michel LUSUNDJU savait gagner l’estime et l’admiration de toutes ses  ouailles et de tous ceux qui le côtoyaient.

 

Il s’est éteint à NDJO, son village natal le 20/12/1963 à 5H du matin des suites d’une courte maladie qui le surprit en cours de route alors qu’il se rendait à une réunion à ONGONGO-LOSA pour le compte de l’Eglise. Il voulait profiter de ce déplacement pour rendre visite à son fils SAMI qui étudiait à NDJO sous la tutelle de sa sœur aînée AMENAKI véronique. SAMI avait alors sept ans révolus.

 

Signalons que ce jour là, jouir de la proclamation des résultats du 1er trimestre, la joie d’être élève l’emporta sur la peine d’être orphelin. C’est ainsi que SAMI laissa quelques temps la dépouille mortelle de son père et se rendit à l’école primaire subsidiée de NDJO pour recevoir son bulletin, et il s’entend dire qu’il est le neuvième de la classe.

 

Pour mémoire SAMI n’avait fait cette année là qu’une SEMAINE en première année primaire. Sachant déjà compter, lire et écrire à partir du toit paternel, les autorités scolaires avaient décidé de le mettre directement en deuxième année primaire.

 

Comme dit plus haut l’union entre Michel et Catherine avait donné 13 enfants dont 10 seulement survécurent jusqu’à la mort de Michel en 1963. Son épouse Catherine l’a rejoint dans l’au-delà à Kinshasa, le 9 janvier 1999.

 

Ces dix enfants sont :

 

  1. DIESSA OTSHUDI SEKE Paul-Gadin
  2. KASONGO Charles
  3. UKULUNGU KANYAMA Jean-Wallers (+) 28.02.1988
  4. WEMBO EKELE Ignace Walter (+) 14.09.1999
  5. EDJO AKONGA Loraine.
  6. LUSUNDJU NGONGE SAMI TSHUTA Samuel-René
  7. Alunga Marie-Louise
  8. OTSHUDIENYEMA  Moïse
  9. OKITOMONGA Albert (+) 1993
  10. ANAHENDO MARIE-Hélène.

 

Décortiquons maintenant l’évolution de ce décagone engendré par Michel LUSUNDJU et Catherine KAMBADIOLO.

 

E.2.1. DIESSA OTSHUDI SEKE Paul

 

Diplômé à l’école Normale de WEMBO-NYAMA, il travaille d’abord comme Enseignant, ensuite il embrasse la carrière territorial et travail à Katako-Kombe, Lodja, Lomela, Kole, Ndekere, Kibombo, Kasongo, Kabambare, Lubefu et Tshumbe.

 

Cette carrière parfois tumultueuse lui a occasionné la cohabitation avec plusieurs femmes qui ont donné également plusieurs enfants en dehors de son épouse légitime. Voici sa progéniture. 

 

épouse WALO Madeleine (9 enfants)

 

1.     OKITO  Sylvain : MBA,  Spécialiste de la migration - Migrationsfachmann. naturalisé Suisse.

 

Mariage avec  Diana Diessa née Mattes (3 enfants)

 

1. RANDY Grégory, aux études, vit à Biel-Bienne

2. KENNY Omba, étudiant en médecine, Université de Berne

3. MALAÏKA Shako, étudiante, Université de Fribourg

 

Union avec Guenevere Marx (2 enfants)

 

-  Ciaran Chephren

-  Odhran Leonidas

 

2.    KAMBADIOLO  Marie Claire : G3 EFOBANQUE (+) 27.08.2013 

                                                          Etait mariée à OMANGA Hubert dit DATY Pétrole ; Homme d’affaires. (+) 09.2011  

                                               Mère de 6 enfants : - Junior  Kilangalanga

                                                                            - Rosette Kilangalanga

                                                                            - Joël      Kilangalanga

                                                                            - Kevin    Kilangalanga

                                                                            - Michael Kilangalanga

                                                                            - Polydor Kilangalanga

                                              

3.     LUSUNDJU Floribert : Décédé à l’âge de 17 ans.(+) 06.1983

4.     Diessa      P.F.           Vit au ''UK''

5.     KASONGO Alexis :  2 enfants. Aux études à Strassburg (France)

6.     EDJO Mireille : Vit à Londres (UK), 3 enfants (Carmelle, Holy, G)

7.     AMENAKI Youyou : Docteur en Médecine, mariée au Dr. Dadou, vit à Kinshasa

8.     AYAKI KANAMBAKI Ornely : Diplomée (ISTM) mariée à François Omasombo (Juriste), 2 enfants (Franel, Parisse)

9.     WALU  Wally     : Docteur en Médecine, vit à Kinshasa

 

ANANDJU Marcelline (5 enfants)

 

1.     WEMBO Ignace

2.     MBE

3.     SAMI LUSUNDJU

4.     OMOYI

5.     KOOLANDO

 

E.2.2. KASONGO Charles

 

D’abord Enseignant à Lomela, il revient à Ndjo où il succède à son père prend l’appellation de Charles  KASONGO PENE LUSUNDJU. Converti au Kimbanguisme il va en mission à travers les villages voisins et s’installe un temps à DEMO comme enseignant et évangéliste Kimbanguiste. Après la mort de sa 2ème épouse EOMBA Pauline, il va s’installer à TSHIKAPA où il évolue dans l’anonymat.

 

1ère épouse DEMBO véronique

 

1.     TSHEKO KASONGO Jean-Pierre : D6 professeur au secondaire à Salamabila dans le Maniema RDC marié et père de 3 enfants

2.     LUSUNDJU Michel : D6, Enseignant à Wembo-Nyama, Sankuru RDC

3.     AMENAKI Véronique : Décédée à bas-âge.

 

2ème épouse EOMBA Pauline (+)

 

1.     ANAMUMBA Youyou : Mariée, mère de 6 enfants, Kinshasa

2.     KAMBADIOLO Catherine : Infirmière A2, mariée.  Kinshasa

3.     ATSHAMO : Mariée à Tshikapa

4.     UKULUNGU Jean : Décédé à bas-âge

5.     EDJO Loraine : mariée à Boma, RDC

6.     EOMBA Pauline : Décédée à bas-âge.

 

3ème épouse à Tshikapa

 

Plusieurs enfants.

 

E.2.3. UKULUNGU KANYAMA Jean-Wallers

 

Né le 20 mars 1942 alors que mes parents étaient en poste dans la mission protestante de OKITODIMBA. KOYA PONGO,  Jean UKULUNGU a passé sa jeunesse auprès de sa tante paternelle AMENAKI véronique à Ndjo. C’est à l’âge de 8 ans qu’il commence ses études primaires. Malgré son intelligence, il est obligé de reprendre la troisième primaire pour laisser passer son frère Charles en 4ème année.

 

C’est auprès du Pasteur Joseph ELUHU ami intime de Michel LUSUNDJU que jean UKULUNGU va reprendre sa 3ème primaire à ODUKU. Il ne connut pas de problème jusqu’en 4ème secondaire.

 

Lorsque les écoles de Wembo-Nyama furent fermées par manque d’enseignants, Jean UKULUNGU se rendit à Lusambo auprès de ses oncles maternels François KANYAMA et Benjamin ONEHESE pour poursuivre ses études. D’octobre 1963 au 28 juin 1966 il fit ses études médicales à l’IMCK Luluabourg (Kananga) et termina avec la mention Grande Distinction.

 

Août 1966  au 31 juillet 1967, il travaille à l’hôpital Lambouth de Wembo-Nyama comme infirmier A2. C’est là que naquit, le 20 mai 1967, son premier fils Jean Faustin EMBULUNGU.

 

Le 27 septembre 1967, Jean UKULUNGU se rend à Kinshasa chez son cousin Pierre DJAMBA OKITADENDE et commence à travailler le 18 décembre 1967 aux cliniques universitaires LOVANIUM, où il resta jusqu’à sa mort le 28 février 1988 des suites d’une longue maladie.

 

VOICI SA PROGENITURE

1ère épouse : Rosanne

1.     EMBULUNGU Jean - Faustin : Résidant en Angola. Marié, père de deux enfants :

                                                - Olondo Embulungu

                                                - Awoyi   Embulungu

                                                -  Bébé    Embulungu

2.     ASHILAKI Brigitte : Diplômée en coupe couture mère de 3 enfants : REGUY, BERNISSE, MARTAENS

3.     OKITANGONGE Dieudonné : Diplômé de l’école Nationale des Finances Kin Option Douane et Licencié en Economie de                 L’université de Lubumbashi. Chef de bureau à l'administration des douanes, Kinshasa

                                               Marié à Mimi KINA et père de 8 enfants :

                                                - Olondo Okitangonge Ariane

                                                - Okitangonge Bénédicte

                                                - Landu Okitangonge Onix

                                               - Adiyo Okitangonge

                                                - Kina Okitangonge Divine

                                                - Kambadiolo Okitangonge Christie

                                                - Ukulungu Okitangonge Junior

                                                - Awoyi Okitangonge Daniele

 

2ème épouse : AWOYI Julienne

 

1.       KAMBADIOLO WOTO AKANA Claudine : D6, mariée en France avec Joska Mbanzu Mambu Nzuzi mère de 4 enfants dont 2 jumeaux OMBA-NSIMBA Landry et SHAKO-NZUZI SAMI

2.     AKONGA Odile : Kinshasa, mère de 3 enfants

3.     AKOMBA Wivine : d6 Hôtesse d’accueil, étudiante à l’IPN, Kinshasa

4.     KOTO Jean Jérémie : DJ Amarula... Afrique du Sud

5.     AMENAKI Mireille : D6 à Kinshasa

6.     ELANDO Colette : Aux études, Kinshasa

7.     AWOYI Lea : Aux études, Kinshasa

 

3ème épouse AKAKE Madeleine

 

1.     WEMBO ONOYA Dieudonné : Ingénieur Concepteur Informaticien. En poste au Cabinda (Angola) marié père de 2 enfants

 

4ème épouse : GBADEKWA Louise

 

1.     OKENGE Odon : pâtissier, Kinshasa

 

E.24 WEMBO EKELE Ignace Walter

 

Le 13 décembre 1946 pendant que ses parents sont en poste à la mission protestante OKOMBE WA DJEMB’OLEMBO, Ignace Walter WEMBO EKELE vient consoler ses parents après la mort de leur fille ASHILAKI qui venait après Jean UKULUNGU.

 

Ses études primaires se passent à Ndjo et à Wembo-Nyama. En 1965 il se retrouve à Lodja où il étudie à l’école secondaire Méthodiste de DIENGENGA. Après la 4ème secondaire, il se rend à KINDU (Maniema auprès de son cousin Pierre DJAMBA OKITADENDE où il espère poursuivre ses études secondaires. C’était en 1969.

 

Le sort ayant décidé autrement Ignace WEMBO rejoint son frère Jean UKULUNGU à Kinshasa où dès 1971, il suit une formation au Centre Informatique du Ministère des finances.

 

A la fin de sa formation, il fut directement engagé à la Direction de l’Informatique où il travailla au Bureau de Liaison Paie et atteint le grade de chef de Bureau.

 

En octobre 1990, Ignace est victime d’une maladie inexplicable qui le terrasse pendant 9 ans jusqu’à sa mort le 14 septembre 1999.

 

Il laissa une progéniture dont les détails suivent :

 

1ère femme FATUMA EBEKE petronelle.

 

1.     LANGANDJI MASIKINI Noëlla : G2 en coupe et couture ISETAM Kinshasa

2.     MBE NKUMU Blandine : G3 ISC/Gombe en comptabilité et Gestion

3.     DEMBO WEMBO MBOYATO Charly : G3 en coupe couture ISAM Kinshasa Modéliste

4.     UKULUNGU EBEKE Jean-Jacques : IBTP Kinshasa. Marié et père d'une fille, travaille dans le Kasaï

5.     KASONGO SELEMANI Trésor : Gradué en Sciences commerciales de l’ISC/Gombe

                                                  Marié à Annie MUNDELE et père d'une fille

6.     ASOYI ALESA Vladic : D6 Kinshasa

7.     OTSHUDIENYEMA Guylain : Aux études à Lubumbashi

 

2ème épouse DJAKO Régine

 

1.    Diessa Gadin Dolce : Père des jumeaux... Vit au Maroc

2.     OTENEWO Blandine

3.     FATUMA WEMBO

4.     LUSUNDJU WEMBO

5.     KAMBADIOLO WEMBO

 

3ème Une précédente cohabitation avec une femme Ngbandi

 

1.     UKULUNGU Jean : Nous n’avons plus aucune trace, ni de la mère, ni de l’enfant.

 

4ème Une cohabitation occasionnelle avec une femme mbadja à Gombe

 

1.     NDJO LO WENGO : Le garçon vit chez sa mère et nous n’avons aucun contact à ce jour.

 

E.2.5. EDJO AKONGA Loraine

 

Quelle joie pour le couple du pasteur Michel et Catherine à la mission protestante de DUNGU ! Une fille vient de naître. Catherine qui attendait une consolation depuis la mort de sa fille aînée ASHILAKI, est certainement comblée. C’était en 1950.

 

Après ses études primaires et deux années secondaires à Wembo-Nyama, Loraine ne sut résister au verbe oratoire du fonctionnaire chef de poste à Ndjo, qui Propose de la prendre comme troisième épouse. Aussi tôt dit aussi tôt fait, Loraine se retrouve dans la maison de Placide MBO LODITHA comme troisième épouse. Ils sont ensemble jusqu’à ce jour à TSHIKAPA.

 

 

Progéniture de EDJO Loraine

 

Epousée par MBO LODITHA Placide

 

  1. NYEMA EFULAKANA Thérèse : D6, femme d’affaires à Kinshasa.
  2. OSONGO ONEHESE Benjamin : Infirmier A2 en fonction à Tshikapa, marié et père de 3 enfants dont deux jumeaux.
  3. ANADALA AMENAKI PATIENCE : décédée le 12/02/2000 à Tshikapa, laissant 1 enfant.
  4. OMEONGA OSAMBA Eric : Docteur en Médecine. Vit au Cameroun
  5. SONYI MBO : aux études à Tshikapa.

 

 

E.2.6. LUSUNDJU NGONGE Samy

           René Samuel

 

  1. NOTICE BIOGRAPHIQUE SOMMAIRE

 

Après la naissance de Loraine en 1950, le couple du Pasteur Michel connut une mortalité infantile successive. D’abord c’est AMENAKI Véronique qui meurt, suivie de son jeune frère YOHE Samuel. N’eut été la solidité de leur foi, le couple aurait crié aux sorciers.

 

Après cette dure épreuve, le couple se consacra dans la prière jusqu’à ce que le Seigneur leur réponde le 15 août 1956 en leur donnant un garçon qu’ils nomment TSHUTA Samuel. ( C’est le nom du mari de NYOMI AMENAKI Véronique, sœur aînée de Michel LUSUNDJU).

Le couple est alors en poste à la mission protestante MENGA YOTETE. Pour sa petite histoire, TSHUTA Samuel devenu LUSUNDJU NGONGE Sami par le recours à l’authenticité le 27 octobre 1971, a connu une enfance tourmentée.

 

Déjà en 1961, alors que Catherine s’était rendue en compagnie de ses  trois petits enfants Samy, Louise et Moïse aux funérailles de sa mère AKONGA décédée à Lusambo, ils tombent dans une embuscade montée par les forces gouvernementales (Force Publique de Mobutu) contre les forces rebelles de KALONJI. C’était au poste OWELE où son oncle maternel PENE LOMBE était chef de poste. A la fuite de ce dernier les rebelles s’emparent de Catherine et ses enfants, les embarquent dans un véhicule militaire et les amènent vers une destination donnée où ils devaient être abattus si on ne retrouve pas PENE LOMBE. Première condamnation à mort !

 

C’est alors que le véhicule est pris en étau par les forces Mobutistes qui pensent que Catherine et ses enfants étaient la famille du commandant des rebelles. Ils doivent donc mourir avec les rebelles. Deuxième condamnation à mort en l’espace de quelques heures !

 

La petite famille n’eut la vie sauve que grâce à l’intervention personnelle du chef du village sur intercession du pasteur du lieu.

 

En 1963, le pasteur Michel LUSUNDJU est affecté à DIMANJA SHENGA. Il décide de confier son fils Samy entre les mains de sa sœur AMENAKI Véronique pour qu’il puisse débuter ses études primaires à NDJO. C’était le premier détachement affectif.

 

Le 20 décembre 1963, alors qu’il n’a que sept ans, Samy est le seul fils sur les 10 qui assiste impuissant au dernier soupir du pasteur Michel LUSUNDJU qui vient de s’éteindre dans son village natal des suites d’une courte maladie.

 

Deuxième détachement et premier choc moral.  « JE SUIS ORPHELIN DE PERE » ! La mort est une réalité incontournable. En 1964 ; pendant que nous sommes au village NDJO, la rébellion Muleliste éclate et nous force de fuir dans la forêt.

Samy assiste à des exécutions publiques des hommes par les rebelles selon les procédés les plus atroces. Plus ou moins une année durant nous vivons tantôt dans la brousse tantôt dans la forêt nous nourrissant des rats sauvages, des restes de fruits mangés par les singes et de la cueillette. Nous sommes errants ! Deuxième choc moral.

 

A la fin de la rébellion nous revenons au village pour tout reconstruire en commençant par la maison d’habitation, notre école, le dispensaire, etc.

 

Le côté positif de cette vie en forêt, ce qu’elle m’a permis de voir de mes propres yeux les différents sites où ont vécus mes ancêtres, notamment OKOMBE, BOKO D’EDJEDJA , BOKO DA NDJO , les rivières ETSHI et YOME, l’endroit précis où s’installa LOTA après son départ d’OKOMBE , etc. jusqu’à l’emplacement actuel de notre village.

 

En outre, la fraternité vécue en ces temps pénibles était sans précédente. Cette vie me permit aussi d’apprendre les métiers manuels, la pêche, la chasse, l’agriculture, le grimpage, etc.

 

En 1966, lorsque mon frère Jean UKULUVARU est affecté à l’hôpital de Wembo-nyama, il me prend avec lui pour y étudier. Nous n’avions jamais vécu ensemble avec lui auparavant. Troisième détachement affectif !

Une année après Jean UKULUNGU perd son emploi à Wembo-nyama et nous rentrons à NDJO  pour chômer

 

Mon cousin Albert OSAMBA ME PREND DE ndjo et me conduit à LODJA  auprès de mon frère Paul DIESSA, alors comptable d’Etat, pour continuer mes études primaires que je termine avec brio en 1968.  A LODJA, j’ai grandi dans une vie aisée à côté de mes neveux Sylvain, Floribert et ma nièce Marie-Claire. Nous étions les enfants de « KUMANDA DIESSA » !

 

Entrée à l’école secondaire Méthodiste de Diengenga, j’obtiens mon brevet du C.O. en 1970. Les protestants ayant coupé les subsides aux études des enfants des pasteurs, je ne puis continuer mes études à Lodja. C’est le 15 mai 1971 que je rejoins mes frères Jean et Ignace à Kinshasa pour continuer mes études secondaires. A l’époque c’était le succès des « BANA 15 ANS » !

 

Me trouvant aux études à Saint Raphaël, j’opte pour la religion catholique. Malheureusement, la tumultueuse vie que je mène à « KINSHASA NGELI-NGELI » ne me permet pas de bien me maîtriser. En 1975, je rate mon diplôme, en 1976 je suis père d’un enfant et je suis contraint d’entrer à la fonction publique comme dactylographe. Un sursaut d’orgueil me permet l’obtention de mon diplôme en 1977 pendant que j’attendais un deuxième enfant et que j’avais l’argent. A quoi servent les études supérieures me disais-je !

 

En 1980, j’entre dans les bilenge ya Mwinda à saint Augustin/Lemba après une cure d’âme du père François OUERLAERT « MOKATISI NGAMBO » qui venait d’initier le « groupe universitaire » pour le Bilenge ya Mwinda plus âgés, étudiants ou travailleurs. Peu de temps après la catéchèse des grands jeunes, je reçois mon baptême par immersion dans le fleuve Congo à Lutendele des mains de père François ci-haut cité. Commence alors une vie spirituelle intense comme lecteur, acolyte, annonciateur, catéchète des adultes, formateur des Bym, Nkumu, chantre à la chorale latino-française NATIVITAS, etc. Et cela me conduit au mariage religieux le 1er septembre 1984 avec Mme KABANGA Pélagie.

 

Parallèlement à cette initiation à la vie chrétienne, je m’inscris en une formation en Informatique à l’Institut Commercial et Industriel (ICI) à Gombe dont je termine en 1983 comme Analyste-Programmeur en langage COBOL.

 

Le 21 septembre 1984, Sami entre à l’Institut Supérieur des Sciences Religieuses (ISSR) et termine le _ juillet 1987 avec DISTINCTION ce qui lui permet d’obtenir une bouse pour une formation continuée à l’Institut International LUMEN VITAE à Bruxelles/Belgique.

 

Rentré au pays, il commence une carrière ecclésiastique et pastorale qui l’occupe notamment comme assistant paroissial à St Jean-apôtre quartier Salongo/Limete en 1988, puis à St Norbert/Mont ngafula de 1988-1989, Mokambi de la paroisse S. Maria Goretti ( KAUKA ) de 1989 à 1995, secrétaire du centre Pastoral de 1988 à 1997, secrétaire des commissions diocessaires des vocations sacerdotales et religieuses, de la formation permanente des laïcs, des CEVB, du service pour un monde meilleur et du groupe des ministres laïcs ; secrétaire-rapporteur de plusieurs forums diocésains.

 

Durant cette carrière, Samy fonde l’Institut BAKANJA et l’école paroissiale BAKANJA toutes à KAUKA.

 

A la rupture du contrat le 27 mars 1997, Samy regagne la fonction publique et s’inscrit, dès 1999 à la faculté de droit de l’université libre de Kinshasa    ( ULK) où il fourbit ses armes jurisprudentielles jusqu’à ce jour.

 

  1. PROGENITURE

 

1ère union avec NSUKI IVULI Annie ( 2 enfants )

 

    1. ONADAMBO Emery 15/01/1976 : Ingénieur Electro-Mécanicien ISTA-KIN en séjour à Lubumbashi.
    2. OPOPE Rachel : Décédée à l’âge de 20 ans laissant un garçon, Exaucé. (+)

 

2ème mariage avec KABANGA Pélagie ( 5 enfants )

 

  1. EKOKO Rosaire 24/09/1987
  2. PIKANDJA Noëlla 28/12/1989
  3. KABAMBA Pater Noster 21/06/1992
  4. LOTA Déodatus 27/01/1995
  5. OKOLONGO Johnny 16/04/1998

   Tous aux études à Kinshasa.

 

E.2.7. ALONGA OTSHUMBA Louise

 

Une fois de plus Michel et Catherine ont la joie d’accueillir une fille dans leur couple. C’était à OWANDJI W’OKITASHONGO. Loraine peut aussi se réjouir d’avoir une sœur cadette car jusque là elle était fille unique.

 

Louise fait ses premières études dans son village natal à NDJO. Ses études secondaires, elle les effectuent à Lodja auprès de son frère Paul DIESSA. Arrivée à Kinshasa pour les mêmes fins, elle interrompt ses études car se trouvant mère, suite à sa cohabitation avec Monsieur ALUKI. Plusieurs années après elle croise le chemin de Monsieur Faustin qui la prend en mariage.

 

PROGENITURE

 

1ère union avec Monsieur ALUKI

1. WALO Florence : Mère d’une fille à Kinshasa.

 

2ème mariage avec Monsieur Faustin PANGA

1. Rosette

2. LUSUNDJU

3. WEMBO LAVIE

4. NSIMBA

5. NZUZI                ( décédé à l’accouchement)

 

E.2.8. OTSHUDIENYEMA Moïse

 

Moïse est un enfant mythique que l’on appelle chez les atetela « OSELE ». C’est un enfant qui ne naît pas dans les conditions normales. Et en fait c’est par césarienne que Moïse naît en 1960 à LOMELA.

 

Moïse a effectué toutes ses études primaires et secondaires à NDJO et à Wembo-nyama. Lorsque son frère Paul DIESSA fut muté dans le KIVU, Moïse l’y accompagna, commença à travailler comme greffier au Tribunal de WAMAZA ( sud maniema )

En 2001, Moïse abandonne tout pour se mettre au service du Seigneur dans l’Eglise CELTA.

 

Jusqu’à l’an 2002, Moïse est marié et père de famille. Au moment où nous couchons ces lignes, ni le nom de son épouse, ni les noms des enfants ne nous ont été communiqués.

 

E.2.9. OKITOMONGA Albert

 

Albert est le tout dernier garçon né de Michel et Catherine, c’était en 1961 à Lomela, alors que Michel est Pasteur à DIKOMA.

 

Tout comme Moïse, Albert a fait ses études primaires et secondaires à NDJO et à Wembo-nyama. Il a également accompagné son frère Paul DIESSA au Kivu-Maniema et s’y installa. Il y mourut en 1993 laissant une veuve et 4 enfants. Deux de ces 4 enfants vivent à Tshumbe chez Paul DIESSA

 

E.2.10. ANAHENDO Marie-Hélène

 

Marie-Hélène n’avait que quelques mois lorsque Michel mourut en 1963. Le destin a voulut qu’elle  ne fasse pas des études consistantes. Etant jeune fille au village elle se fait enrôler dans le groupe d’animation du MPR. C’est là qu’elle rencontre le dirigeant de la JMPR de TEKE qui l’épouse et fait d’elle la mère de 6 enfants dont 2 sont morts à bas-âge.

 

Voilà épuisée l’analyste détaillée de la progéniture de Michel LUSUNDJU. Dans la logique des choses, nous devons tout naturellement passer à la 3ème fille de EDJO qui est ALONGA Louise.

 

Mais avant d’y arriver, il est normal que nous fassions une jonction avec notre mère Catherine KAMBADIOLO pour parler de son origine, de sa famille et de leurs descendants afin de donner à nos lecteurs l’occasion de situer nos relations avec nos cousins et cousines du côté maternel. C’est seulement après que nous continuerons avec notre famille paternelle à NDJO.

 

KAMBADIOLO OMOYI Catherine est originaire du village ONGONGO-LOSA situé à 3 Km de NDJO. Son ancêtre le plus reculé connu jusqu’ici s’appelait SAKA, SAKA engendra LONGOLA, LONGOLA  engendra EKELE, EKELE engendra OLELA et KAMBADIOLO. OLELA épousa OTSHUMBA et de leur union naquirent deux enfants : SEKE D’OLELA (G) et OPOPE  W’OLELA (F). Cette fille OPOPE était mariée à NDJO et n’a pas eu d’enfants. Elle était la voisine directe de NYOMI AMENAKI Véronique et l’avait beaucoup aidé lorsqu’elle attendait famille. C’est ainsi qu’AMENAKI donna le nom de OPOPE Hélène à son unique fille dont nous avions déjà parlé ci-haut.


Quant à SEKE D’OLELA, il épousa au total 4 femmes. Il était couturier à Lusambo.

-         1ère épouse OPIKO Julienne : ne donna aucun enfant.

-         2ème épouse AKONGA WA KONO : 4 filles.

1.     OTSHUMBA Henriette : s’est mariée à Katato-Kombe et  y a laissé deux enfants dont nous n’avons plus des nouvelles.

2.     KAMBADIOLO Catherine : s’est mariée à LUSUNDJU Michel à NDJO et y a laissé 10 enfants dont moi-même.

3.     WELA : s’est mariée à Lusambo et  y a laissé 4 enfants dont KOMBE et PEMBA sont à Ilebo, Me SENGA L2 SPA UNIKIN Avocat au barreau de Kinshasa et Benjamin , Lieutenant des FAC à Kinshasa ( 2 enfants ).

4.     LANGANDJI Marie : n’a point d’enfant.

-         3ème épouse WELA : 2 garçons.

Celle-ci était musonge et vivait à Lusambo chez sa sœur KIBIBI

 ( TSHIBIBI) qui était une femme d’affaires mais sans enfants. Néanmoins KIBIBI avait adopté une fille métisse au nom de NGANDU Mathilde. Lorsque WELA se marie à SEKE, elle avait déjà un enfant du nom de YANKUMBA vivant actuellement à ILEBO. Chez SEKE, WELA met au monde deux garçons.

a.      KANYAMA François

b.     ONEHESE Benjamin

-         4ème épouse ADIYO / 1 GARçON

Elle a donné naissance à 1 garçon au nom de OLONGO qui est décédé à Kananga sans laisser d’enfant. Ainsi SEKE a eu au total 7 enfants dont 4 filles et 3 garçons.

Jetons à présent un regard sur les deux garçons survivants de SEKE D’OLELA.

A.    KANYAMA François

 

Il a épousé deux femmes qui lui ont donné au total 9 enfants.

-         1ère épouse MISENGA : 8 enfants

1.     TSHIBIDI (Kibibi) : mariée à Lusambo et mère d’une famille nombreuse.

2.     ANDJAHOLO : tantôt à Lusambo, tantôt à Mbuji-mayi, mariée mère d’une famille nombreuse.

3.     LUNDULA Michel : vit à Kinshasa, marié à Cécile et père de 2 enfants. D6.

4.     KAMBADIOLO Catherine (cathy) : vit à Kinshasa, mariée à Pierre et mère de 3 enfants.

5.     OMOYI : vit à Mbuji-mayi, mariée et mère d'une famille nombreuse.

6.     OMBA : vit en France, mariée.

7.     SHAKO : est décédée à Kinshasa à l’âge adulte.

8.     OPIKO Julienne : est décédée à Kinshasa laissant 3 enfants.

-         2ème épouse ANUNGA : 1 enfant

1.     OKENDE ASHEMA Marie : vit à Kinshasa, mariée à Pierre OKONGO, le fils de Kumanda Okongo, grand ami de DIESSA Paul. N’a pas encore d’enfants.

 

Signalons qu’en venant chez KANYAMA, sa femme ANUNGA avait déjà ses deux enfants Mathilde et Pierre ONOKOKO.  Les deux vivent à Kinshasa.

 

B.     ONEHESE Benjamin

 

Papa Benjamin est le seul oncle maternel que j’ai vu et côtoyé, surtout durant ses derniers jours à Kinshasa. Il avait 2 épouses qui lui ont donné au total 12 enfants. Haut cadre de la Nogueira, il a sillonné tout le Sankuru mais a surtout vécu Kananga, Lodja, Kikwit et Kinshasa.

 

-         1ère épouse MUSWAMBA : 10 enfants.

1.     OPOPE Hélène : vit au Gabon, mariée au Pharmacien LUMUMBA Daniel, mère de 10 enfants.

2.     SEKE Daniel : vit à Kinshasa, cadre de la Nogueïra, marié à OKAKO DEMBO Patience et père de 7 enfants.

3.     WELA Marie-louise : décédée en France (Lyon) en 1987 a laissé 1 enfant Michel qui vit en Belgique.

4.     OTSHUMBA Germaine : L2 en Economie/UNIKIN, cadre à la Banque Centrale du Congo, mère de 4 enfants.

5.     MBOMBO Rose : Diplômée en coupe-couture, professeur au CS Mgr MOKE à Kinshasa, mère de 2 enfants.

6.     PENE LOMBE : D6, vit au Gabon, père de 3 enfants.

7.     KANYAMA François : Informaticien en Suisse, marié à Eliane (née Wildi) et naturalisé suisse

                                    Père de 3 enfants (Jonathan, Soraya et Cindy)

8.     OLELA Benjamin : vit en Suisse (naturalisé suisse) marié.

9.     KASONGO Tithy : Aux études au Canada.

10. MUSWAMBA Jacky : Vit en Angleterre (UK), mariée et mère de 4 enfants

-         2ème épouse NGOLE : 2 enfants.

1.     NGANDU Mathilde : employée à l’ONATRA, vit à Kinshasa, mariée à Jean-marie et mère de 7 enfants.

2.     ONGENDA NGENDA Mado : Infirmière A2 à Mbuji-mayi, mariée et mère de 8 enfants.

 

Revenons maintenant chez nous à NDJO pour continuer avec les enfants de EDJO.

 

E.3. ALONG’A POYI Louise

Nyomi ALONGA Louise a été épousée d’abord par Monsieur OKIT’OSA. Deux enfants sont nés de leur union. Il s’agit de papa Albert OSAMBA KOY’A DJEMBA et maman Marie ALOMBA. Devenue veuve suite à la mort précoce de son mari, elle se remarie avec papa Albert OKITOMONGA, mais leur union ne donna lieu à aucune descendance.

 

E.3.1. OSAMBA KOY’A DJEMBA Albert

 

Papa Albert OSAMBA est une grande figure de notre famille. Il a servi l’église et la nation dans l’enseignement national et la prédication de la parole dans l’église méthodiste du Congo. Ses principaux lieux de prestation ont été WEMBO-NYAMA et KANANGA.

 

Il s’est marié d’abord à Madame WALO (sœur cadette de monsieur Albert ONGENYI, originaire d’ONGONGO-LOSA, le village natal de ma mère). Leur union a donné naissance à une fille appelée KOHO Clotilde. Alors que cette fille était encore bébé, madame WALO s’est suicidée par pendaison. Personne n’a jamais su les raisons cachées de ce suicide. Clotilde vit aux USA, marié à HYANGO René et mère de 4 enfants.

 

Après cela papa Albert OSAMBA a épousé madame Louise SHAKO et de leur union naquirent 

dix enfants ci-après :

  1. ALOMBA Marie : vit à Kinshasa, mariée à SHEMBO et mère de 2 enfants.
  2. WALO Henriette : vit à Kinshasa, mariée à Pierre KAHENGA et mère de 4 enfants.
  3. ALONGA Christine : mariée, mère de famille et vit en France. (Paris)
  4. KENAKI : vit à Kinshasa, mariée.
  5. VATO (+)
  6. OKITOSA LOSONDJO Samy
  7. OWALE
  8. SHAKO
  9. WETSHINDJADI Albert
  10. NDEKAYEMA.                           Tous à Kinshasa aux études.

 

E.3.2. ALOMBA Marie

Maman Marie ALOMBA s’est mariée avec papa Gabriel LONDE qui est du clan OKITALOTSHINDA. De leur union naquirent 12 enfants dont les noms suivent :

 

1. ANADALA Marie-Hélène : (+) 2010 et a laissée 3 enfants : 

- Mwandja ma vie : vit à Kinshasa (1 enfant)

- Alomba Rhode : vit à Kinshasa, G3 Infirmière ISTM Kinshasa, cherche du travail 

- Mbe Grace : vit à Kinshasa, G3 Informatique de Gestion, cherche du travail                                                                                          

2. OSOMBE Bismarck : Vit en France (Paris), Ingenieur IT, travaille à l'Université Paris 9 (Dauphine)

3. OKALE Marie-Josée : vit à Lodja, travaille à l'enseignement, mariée et mère de famille.

- Londe Papytsho : vit à Lodja

- Anashinga MJ : vit à Lodja (4 enfants)

- Lama Francis : vit à Goma, licencié en droit public de l'Unikin

- Osenge Bernadette : Etudiante en Médecine à Tshumbe

- Alomba Astrid : Etudiante en agronomie à Lodja

4. AKATSHI Générose : vit à Kinshasa, Infirmière de formation à Wembonyama et actuellement commerçante à Kinshasa,  mère de famille de 4 enfants.

- Alomba Francine : Etudiante 3eme Doctorat Médecine à Kinshasa

- Mperimpoko Clarisse : Etudiante dernière année New Dheli, Inde

- Mperimpoko Gauthier : Etudiant 2eme année Polytechnique au Maroc (1 enfant)

- Osombe Jonathan : Etudiant en Polytechnique, Tunisie

5. NGOMO Osamba André : vit à Kinshasa, licencié en Droit Economique, Unikin. cherche du travail

6. Londe Okitomonga Gabriel : vit à Lodja, père de 2 enfants

- Ekanga Carine : vit à Lodja (1 enfant)

- Alomba Raissa : vit à lodja. Eleve

7. Alomba Marie : vit à Kinshasa, mariée à Ngongo Johnny, mère de 4 enfants

- Rose Ngongo : Eleve à Kinshasa

- Jeremie Ngongo : Eleve à Kinshasa

- Blaise Ngongo : Eleve à Kinshasa

- Okale Sarah : Eleve à Kinshasa

8. Okosa Diessa Jean-Paul : vit à Goma, Ingenieur Civil Electromecanicien, Certificats Informaticien, travaille chez Vodacom RDC, père de 4 enfants

- Alomba Accacia : Eleve à goma

- Ntumba Dahlia : Eleve au Rwanda

- Londe Gopher : va à la crèche au Rwanda

- Osamba Winner: Bébé

9. Mbe Cathérine : vit à Lodja, mariée et mère de 5 enfants

- Ngomo Joseph : vit à Lodja, Diplômé d 'Etat

- Okale Béatrice : Eleve à Lodja

- Vicky Osango : Eleve à Lodja

- JPaul Osango : Eleve à Lodja

- Rachel Osango : Eleve à Lodja

- Francis Osango : Eleve à Lodja

10. Toheke Rachel : vit à Kinshasa, G3 Gestion Hôspitalière ISTM Kinshasa, mère d'un enfant

- Alomba Joëlla, vit à Kinshasa

11. Walo Henriette : vit à Kinshasa, G3 Sciences Infirmières ISTM Kinshasa, mère de 2 enfants

- Rose Akatshi : Eleve à Kinshasa

- Charonne : Eleve à Kinshasa

12. Amat'ato : vit à Lodja, mère de 4 enfants

- Londe Freddy : Eleve à Kinshasa

- Konga Isabelle : Eleve à Kinshasa

E.4. ANAHENDO Véronique

 

Cette dernière fille de EDJO s’est mariée au village NDJO avec Monsieur YUNGU du clan OKITAMBOLO et de cette union sont nés 7 enfants.

 

E.4.1. OSAKO Catherine (+2012)

 

Mariée par NGANDU Michel du clan MENGEMBO

 

  1. OTSHUMBA Micheline : employée à la SONAS/Kinshasa, mariée à NGANDO Jacques et mère de 3 enfants.
  2. ONAMBOYA Adolphe : marié à SENGE et père d’un enfant (+2012)
  3. DIKETE François : Officier des FAC, marié et père de 2 enfants.
  4. Onatshuka Charles : déclarant en douanes, marié à Charly et père de 3 enfants.
  5. OHANDJU Marie : mariée et mère de famille, vit en Europe.
  6. AKATSHI Josée : meurtrie à Kinshasa par un soldat des FAZ (+)
  7. OHANDJE Berthe : mariée et mère de famille, vit en Europe.
  8. NGANDU Michel : aux études à Kinshasa, marié et père d’un enfant.
  9. MBOYANGAWO : aux études à Kinshasa.

 

E.4.2. OKAKO Marie

 

Elle vit à NDJO, mariée et mère d’une famille nombreuse.

 

E.4.3. OTSHUDI OHAMBE Emmanuel

 

Travaille dans le secteur de l’enseignement, marié et père d’une famille nombreuse.

 

E.4.4. OSOMBE Françoise

 

Travaille également dans le secteur de l’enseignement au Sankuru, marié et père de famille.

 

E.4.5. ANGENYI Rébecca

 

Elle est mariée au Pasteur ODIMBA et est mère d’une famille nombreuse, vit à Kinshasa.

 

E.4.6. OLENGA Jean

 

Vit au Sankuru, marié et père de famille.

 

E.4.7. OKITAMBOLO

 

Vit au Sankuru et doit tout naturellement être marié et père de famille.

Voilà terminée la description détaillée des 4 enfants de EDJO et leurs progénitures respectives.

 

A présent nous nous retrouvons vers la descendance Nyongombe         ( DIESSA ) cet autre enfant de EMAMBOLO-OKITANGONGE né de son union avec AYAKI. En effet de cette union sont nés 4 enfants dont WEMBO, NYONGOMBE DIESSA, AMENAKI et ATSHAMO.

 

De tous ces enfants nous nous allons à cette occasion décrire la descendance de NYONGOMBE-DIESSA.

 


Section 3 : Lignée de NYONGOMBE-DIESSA

 

Nyongombe était le forgeron du village et savait fabriquer des outils fort tranchants. C’est ainsi qu’on l’appellera au village OTSHUDI A DIESSA, ce qui signifie littéralement «le forgeron tranchant». Le nom de Nyongombe a ainsi laissé place à DIESSA.

 

DIESSA donc s’est mariée à deux femmes : KODONGA OLENGA            ( originaire de koyi) qui a donné naissance à 8 enfants et Henriette qui a eu            2 enfants.

 

1ère épouse KODONGA OLENGA

 

  1. ANAMUMBA
  2. OTSHUDIENYEMA
  3. MBE Henriette
  4. AYAKI
  5. KOTO OLENGA

 

2ème épouse ONGEMBA Henriette

 

  1. MUKOYI OTSHUDI  A KOYI
  2. OKITANGONGE

 

Nous allons voir en détail cette descendance de DIESSA-NYONGOMBE que nous désignons par la lettre D.

 

D.1. ANAMUMBA

 

Elle s’est mariée à Monsieur NDJATE  et a donné naissance à 8 enfants :

 

  1. DJAMBA Jérôme
  2. SEKE François : Commerçant à Kananga père d’une famille nombreuse
  3. EDJO Louise : Mariée à DIANDJA Armand et mère d’une famille nombreuse dont Dr MANAFUNDO, Médecin à Kinshasa.
  4. LAMA Pierre
  5. ALANGAWO
  6. SONYI
  7. LUNDE NDJATE : L2 IPN, Préfet des études.
  8. OHANDJO

 

D.2. OTSHUDIENYEMA

 

Il s’est montré très entreprenant aux études à Tshumbe puis à Wembo-Nyama en compagnie de Michel LUSUNDJU son cousin. Il devint enseignant. Il mourut de suite d’une maladie mentale (maladie du sommeil), à NDJO. Laissant 9 enfants issus de ses deux épouses.

 

1ère épouse  OSOMBA ONENDA Hélène

 

  1. KODONGA : Mariée et mère d’une famille nombreuse
  2. ONADAMBO Emery : Mort durant la rébellion muleliste de 1964, laissant une fille Marie TOHEKE, vivant à Kin, mère de famille.
  3. ANAMUMBA : Décédée sans enfant
  4. WEMBODINGA Gilbert : Dr en Médecine, Maître en Gynécologie, professeur d’université, Marié à DIHANDJO Albertine et père de 6 enfants : ANAMUMBA Virginie (Dr en Médecine à Kin, marié + 1 enfant, AYAKI Bébé, OSOMBA Chantal mariée et mère de deux enfants, KODONGA Carine, DIESSA NYONGOMBE et WEMBODINGA
  5. NYONGOMBE Nathan : Ir Agronome à Kisangani, Marié et père de famille nombreuse
  6. MBE : Mariée, mère de famille
  7. DJINGA Samy : Commandant de Police à KIN.

 

2ème épouse ANAKETE Hélène.

 

  1. LUSUNDJU : Décédé à bas-âge
  2. OSOMBA Josée : Vit à Kinshasa, veuve et mère de 4 enfants
  3. AMENAKI : Mariée au Kasaï et mère de famille OTENEWO. Après la mort de OTSHUDIENYEMA, son frère MUKOYI OTSHUDI A KOYI a hérité d’ANAKETE et ils ont eu deux enfants :
  1. EDJO : Mariée mère de famille
  2. OTSHUDIENYEMA

 


D.3. MBE Henriette

 

Epousé d’abord par Monsieur WELO puis par Monsieur Michel WETSHINDJO, elle a eut deux enfants 

 

  1. OKITALOKOSHA Albert
  2. LUSUNDJU Michel

 

D.4. AYAKI

 

S’est mariée d’abord à Monsieur OSOMBE avec qui elle a eu 3 enfants :

  1. KISASE PASCAL
  2. NGOMO
  3. LUNDE

 

Puis s’est remariée à Monsieur UKULUNGU (par héritage) et elle a mis au monde un 4ème enfant, LUSUNDJU Michel.

 

D.5. KOTO OLENGA Jules

 

Fonctionnaire de carrière, il s’est marié à OMUMU Denise et à eu 10 enfants

 

  1. OTSHUDI A KOYI Jean : Vivait à Kinshasa (enseignant) (+)
  2. DIESSA Remy : Travaille à Manchester (UK)
  3. AYANGE Julienne : Informaticienne à L’EMG des FAC à Kinshasa
  4. ANAMUMBA 
  5. AYAKI
  6. UMBE (décédée)
  7. OTSHUDIENYEMA Papy : Travaille en Angola
  8. OMUMU
  9. KODONGA
  10. KASONGO Fiston           Vivent à Kinshasa  et sont aux études.

 

D.6.  MUKOYI OTSHUDI AKOYI

 

A eu 5 enfants dont 2 avec une 1ère femme OTSHUDIENYEMA et OKITANGONGE ; et 3 avec ANAKETE, veuve de son frère OTSHUDIENYEMA dont nous avons déjà parlé : LUSUNDJU, AMENAKI,  OTENEWO et OTSHUDIENYEMA

 

Ainsi se clôture l’analyse détaillée des membres de cette grande famille. Nous mettrons plus loin un  répertoire familial où nous reprendrons les noms et situation familiale de chacun des membres dont nous avons connaissance afin que, dans la mesure du possible, nous puissions reprendre tous nos descendants jusqu’à la dernière génération

 

A suivre

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